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9/26/2008

CAISSE D'ÉPARGNE RHÔNE ALPES LYON

    





































Olivier KLEIN, Président du directoire des Caisses d'épargneRhône-Alpes,hérite du dossier épineux "OUTILAC et sa caution"
Dossier totalement en faute qui risque de voir son Président et la banque mis en responsabilité.


En effet , celui ci poursuit cette société et sa caution malgré une créance perdue




Lettre recommandée à Monsieur Olivier KLEIN, Président du Directoire en date du 21/06/09

Déclaration de créance irrégulière


contestation de créance


-Réponse de la banque à la contestation de créance(1)(2)et réponse du Mandataire Ad'hoc
Le pouvoir
Déclaration de créance
Délibération du COS 2001
courrier avocat


-omission d'une sûret
é
Acte Sofaris
Attestation non Nantissement


-TEG erroné et usurier
analyse 1 ère page

analyse page 5

Le taux d'intérêt convenu était de 12% alors que la réalité est tout autre ! TEG 110,88% !

Eh oui, vous ne rêvez pas ! et ce qui arrive aujourd'hui sur le plan mondial n'est que le prolongement d'un laxisme et d'un manque de contrôle évident sur les établissements financiers.

Une volonté de nuire dirige cet établissement alors qu'il y a, malgré la non admission de la créance, une honteuse saisie sur salaire.


L'avocat de la banque,Michel SAILLET dans son délire pour détruire la caution a commis une faute :

La créance est non déposée , non publiée au BODACC ,toujours contestée.
En conséquence l'arrêt servant aux poursuites est inopposable à la caution.

C'est l'insertion au BODACC qui ouvre à la caution le droit au recours et qui fait courir un délai de quinze jours à compter de la publication : mention est faite dans l'insertion.


La caution solidaire du débiteur peut, comme toute personne intéressée, à l'exclusion de celles mentionnées à l'article 102 de la loi du 25 janvier 1985, contester l'état des créances déposé au greffe, lequel n'acquiert autorité de chose jugée à son égard, quant à l'existence et au montant de la créance, qu'à l'expiration du délai légal de réclamation.  En conséquence, manque de base légale, l'arrêt qui condamne une caution solidaire à exécuter son engagement sans constater si le délai de recours qui lui était ouvert était expiré. (N° de pourvoi: 96-21920)


Malgré l'évidence des faits,l'avocat Michel SAILLET persiste et signe dans ses conclusions pour gagner du temps et affaiblir économiquement la caution.

L'égalité n'est pas de mise dans ce combat.
D'un côté , un établissement qui possède et contrôle l'argent, un avocat qui use de tous les stratagèmes et de l'autre une caution sans moyen.

Et pourtant .....



Qui calcul ses intérêts sur 360 jours ? qui se trompe sur le taux de période ? qui pratique des taux usuraires ? qui oublie une sûreté ? qui oublie de parapher un acte notarié ? qui se trompe sur une déclaration de créance et surtout qui oublie de se renseigner si les voies de recours ont été utilisés ? Alors Me SAILLET, un peu de sérieux ! Vos propos ne sont pas dignes d'un professionnel du droit.


Vous parlez de textes injurieux , ici sur ce blog ! Quels textes injurieux ? il n'est dit que la vérité et apparemment la vérité vous dérange !


Vous ne pouvez ignorer la manière dont vous avez obtenu pour votre cliente des décisions à l
'encontre de la caution, en recouvrement forcé d'une créance qui est ni liquide, ni exigible, puisqu’elle fait l'objet d'une proposition pour une admission de ZERO EURO par Maître GUEPIN.

Mr Bernard COMOLET Président des Caisses d'épargne et Mr Olivier KLEIN Président du directoire Rhône Alpes interpellés sur le contenu de ce blog par mail ne daignent pas répondre.


Mais c'est vrai que selon L'EXPRESS , la duplicité et la trahison sont les deux mamelles de la Caisse d'épargne sans oublier les affaires véreuses selon LE MONDE.



En date du 7 Décembre 2009, le juge de l'exécution du Tribunal d'ANNECY se déclare incompétent mais...........condamne la caution à 2500 euros !!!

Crime de lèse banque , sûrement !


La CAISSE D'ÉPARGNE assigne Mr NOGUES pour ce blog injurieux et diffamatoire ????

Pourtant , il n'est dit que la vérité !



Conclusions Me DANGLEHANT

OLIVIER KLEIN de la Caisse d'épargne va-t-il être secouru par la juge des référés Marie-Noëlle CHIFFLET à la demande de l'Avocate Cécile ZOTTA ?


Nul ne plaide par Procureur en France, à part peut être le très évidemment compétent Olivier KLEIN, Président du Directoire de la Caisse d'épargne Rhône-Alpes , Professeur à HEC ,administrateur de Natixis et de la Coface sans oublier le Crédit Foncier.


Une hypothèque judiciaire puis une saisie a été ordonné par le Président de la Caisse d'épargne Rhône Alpes,au mépris de la convention SOFARIS qui pourtant interdit toute saisie où prise d'hypothèque????? Mr Olivier KLEIN s'affranchirait il des règles et des lois? Je laisse le soin aux lecteurs de se faire leurs propres opinions.




LRAR Mme la Juge des Référés Marie Noelle CHIFFLET

LRAR Mme l'avocate Cécile ZOTTA


Note en délibéré


PREMIÈRE DÉFAITE POUR OLIVIER KLEIN, CAISSE D'ÉPARGNE RHÔNE ALPES POUR SA TENTATIVE DE FERMETURE DU BLOG  "MAGOUILLES SAVOYARDES".


Le jugement


Le notaire de cette charmante entreprise qu'est la Caisse d'épargne Rhône Alpes,refuse de délivrer une copie du pouvoir litigieux.

Que cache ce refus ?????????????????



Courrier officiel de Mme L'avocate ZOTTA

Madame ZOTTA


Après de nombreuses lectures  ,je ne vois toujours pas de propos injurieux ni même déplacés sur ce blog !!

Relisez le correctement ! Tout est vrai !
Vous y verrez juste l'acharnement du plus puissant contre le plus faible.
De votre côté,vous avez volontairement transmis au juge des pièces non communiquées à mon avocat
et j'estime de par ce fait, que vous n'avez pas respectés les règles de votre profession.
Ce courrier officiel de plainte n'a pas lieu d'être et j'en ai informé Monsieur le Bâtonnier de St DENIS.

Ils ont osés (assignation et 2)
mais en vérité, ils ont tous les droits.

Quoiqu'en dise la banque et son conseil , la créance n'est toujours pas admise, la caution n'a toujours pas utilisée ses voies de recours , les saisies ont été faite dans un mépris total du droit et devant le soupçon de partialité des juges  , la Haute cour renvoie à GRENOBLE .











06 : 30 Intervention d'Olivier KLEIN









 

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